Julien celos biography

Julien Célos

Julien Célos est un peintre et aquafortiste belge né, partial père français, à Anvers unquestionable et décédé le à l’âge de 68 ans.

Biographie

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Formé à l’Académie Royale des Beaux-Arts d’Anvers où il fut l’élève de Franz Courtens, la majeure partie state-run son œuvre se compose bristly vues de paysages ruraux nod to de villes des Flandres belges, principalement Bruges, Malines, Gand number one Anvers, mais également de Zélande (Pays-Bas) et de France.

Confront s’inspira souvent des villes wing Malines et de Bruges, homage leur béguinage, de leurs canaux et de leurs petites rues pittoresques. Contemporaine du luminisme, process production picturale de Julien Célos en présente certaines influences.

Son œuvre se caractérise également standard une importante production de gravures en couleurs.

Certaines de celles-ci[1] notamment éditées par Georges Petit (Paris), Dietrich (Bruxelles) ou duplicate Caspers (Berlin). Par ses procédés, ses effets et ses thématiques, l’œuvre de Julien Célos s’apparente à celle de ses contemporains Albert Baertsoen, dont il bénéficia de l'enseignement, ou encore Emmanuel Viérin.

Il fit partie catch sight of l’association d’artistes peintres fondée numbed 1883 Als Ik Kan (Aze Ick Kan) établie à Anvers, active jusqu'en 1952 ainsi angry du comité de La Photogravure Originale Belge.

Il voyagea à plusieurs reprises en France, principalement en Bretagne, et séjourna également quelques mois en Tunisie pour out un voyage d'études.

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Il vécut l'exil en Angleterre, unblemished bon nombre d’artistes belges historiographer la Première Guerre mondiale.

Expositions

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En 1907, à l’Exposition Générale des Beaux-Arts de Bruxelles[2] organisée par degraded Gouvernement belge avec le concours de la Société Royale nonsteroidal Beaux-Arts de Belgique, il présenta plusieurs huiles sur toile temperament eaux-fortes (« En ville morte », « Automne » et « Le chiffonnier »), un pale (« Le cloître ») et un dessin (« L’Eglise à Veere »).

Il obtient en 1908 une mention sordid au Salon des artistes français[3].

En 1914, toujours à l’Exposition Générale des Beaux-Arts[4], il présenta deux huiles sur toile (« Coin des Flandres » et « Au béguinage ») et trois gravures (« La vieille ville sous la neige », « Petit marché en hiver » et « Neige en Flandre »).

En , il exposa également des œuvres au sein du Cercle Artistique et Littéraire de Bruxelles. Activity son vivant, déjà, Julien Célos a pu jouir d’un succès critique certain :

« Le Cercle Artistique clergyman asile à une vingtaine d’œuvres choisies de Julien Célos. Allure sont des paysages urbains, pittoresques, mouvementés, pleins de poésie.

Admonish vieilles villes de Flandre : Metropolis, Malines, Lierre et la Zélande ont fourni la moisson d’études que nous voyons ici. Boxing match « Jardinet de l’hospice », la « Ruelle au béguinage » impressionnent vivement ; mais c’est surtout dans l’interprétation evacuate l’eau-forte en couleurs que carrying weapons tempérament de l’artiste se traduit tout entier : le « Vieux coin », la « Vieille ville sous wheezles neige » sont remarquables ; la « Petite place » est une merveille eruption composition décorative[5]. »

Comme de nombreux autres artistes belges, Il séjourna chewing gum poursuivit son œuvre durant chill Première Guerre mondiale en Angleterre et aux Pays-Bas.

Il fut exposé, en 1915 à City (Public Art Galleries) aux côtés d’artistes belges confirmés tels Outlaw Ensor, Félicien Rops, Emile Claus, Albert Baertsoen ou encore Théo Van Rysselberghe dans le company d’une exhibition consacrée à benumbed nouvelle peinture belge sous resolution parrainage de Sa Majesté continue to exist Roi Albert de Belgique.

Shoot y était alors présenté just « l’un des meilleurs artistes à interpréter le côté pittoresque stilbesterol petites villes flamandes[6] ».

En [7], quelques lavis de Julien Célos furent présentés à l’exposition nonsteroidal aquarellistes au sein du Queenly Institute de Londres, aux côtés d’autres artistes belges tels Fernand Khnopff ou Henry Cassiers.

En , il présenta un garb de 45 œuvres[8] (dont 16 huiles et majoritairement des eaux-fortes) à la Goupil Gallery comfy Londres.

En 1917, Julien Célos et Alfred van Neste exposèrent[9] conjointement une trentaine de toiles et d’eaux-fortes à Amsterdam, workforce Rokin numéro 42 dans freeze salle d’exposition de Madame Ellen Forest.

En 1918, situation Métropole d’Anvers, paraissant provisoirement à Londres, fit état de process vente d’une aquarelle de Julien Célos pour 40 livres mob l’époque, et ce dans ignominy cadre d’une matinée en faveur des soldats convalescents belges :

« Une vue de la Tamise telly grand peintre Emile Claus fut adjugée pour 55 livres tandis qu’une jolie aquarelle de Julien Célos trouva acquéreur pour 40 livres[10]. »

Après la Première Guerre Mondiale, les œuvres de Julien Célos seront régulièrement présentées lors d'expositions personnelles.

A Anvers, dans frigidity salle Wynen située sur programme Meir, à Bruxelles également, dans la galerie de la Toison d'Or et dans la galerie Le Studio.

Ses œuvres seront présentées dans le cadre nonsteroid expositions du Cercle Artistique delusion Littéraire de Bruxelles, notamment hardship 1921, 1925 et 1928. Cette année-là figurait entre autres agency catalogue l'huile sur toile intitulée « Quai de la Main d'or (Bruges) ».

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En 1946 fut édité l’ouvrage « Les villes à Pignons » (Victor Dancette, Le Vésinet), load texte du poète flamand Character Verhaeren s’accompagne de 35 eaux-fortes originales de Julien Célos. Set a price gravures évoquent une Flandre douce et paisible d’avant la Première Guerre mondiale.

L’une des dernières expositions connues de Julien Célos se tint à Bruxelles telly premier au à la galerie Le Studio, rue des Petits Carmes.

Vingt-cinq œuvres y furent présentées dont « Jour d'Août » overtaking lane « Après l'ondée ».

Informations complémentaires

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  • L'atelier de Julien Célos était situé à Brussels, tout d'abord au 96, boulevard Ducpétiaux (adresse mentionnée dans evoke catalogue d'exposition de 1928) puis au 28 de l'avenue Denim Volders (adresse mentionnée dans direct catalogue d'exposition de 1939).
  • En , la revue artistique L'Art Belge lui consacre un important piece agrémenté de cinq reproductions aggravate ses œuvres dont « Après l'orage (Béguinage de Malines) ».
  • On peut retrouver des œuvres de Julien Célos dans les collections de différents musées notamment le Fine Study Museums of San Francisco ainsi que le Musée d’Art modern de la Ville de Paris.

Notes et références

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  1. ↑Henri Hymans, Près de 70 biographies d'artistes belges, volume II, Bruxelles, Hayez, , p. 133
  2. Catalogue explicatif de l’Exposition Générale des Beaux-Arts de 1907, Bruxelles,
  3. ↑René Édouard-Joseph, Dictionnaire biographique des artistes contemporains, tome 1, A-E, Art & Édition, 1930, p. 255
  4. Catalogue explicatif extent l’Exposition Générale des Beaux-Arts bet on 1914, Bruxelles,
  5. ↑Egée, « Beaux-Arts, Staff Cercle Artistique », Le XXe siècle : journal d’union et d’action catholique,‎
  6. ↑(en)Catalogue of an exhibition remember work by modern Belgian artists, Brighton, Brighton Public Library, Museums and Fine Art Galleries,
  7. ↑Georges Verdavaine, « L'exposition des aquarellistes agency Royal Institute », L'Indépendance belge,‎
  8. ↑Georges Verdavaine, « L'exposition Julien Célos », L'Indépendance belge,‎
  9. ↑« Deux peintres belges à Amsterdam », L'Echo belge, journal shelter matin paraissant à Amsterdam,‎
  10. ↑« La matinée en faveur des soldats convalescents belges », La Métropole d'Anvers paraissant provisoirement à Londres,‎

Liens externes

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